Dans une Afrique où les médias(publics et privés) sont verrouillés et réduits à leur plus simple expression d'appareils de propagande politique, l'apparition des réseaux sociaux a été accueillie par les populations africaines(et du monde) comme une bouffée d'air et un outil de promotion de la liberté de penser, d'expression et d'informer au service de la "démocratie" sociale...

Malgré le rôle délétère et le caractère mortifère des médias traditionnels, comment réinventer le métier de l'information et le mettre au service du développement de l'Homme et de son épanouissement ? Tel est l'enjeu au cœur de la création et de la mise en place de la Charte de l'informaction positive. 

01. Pour une presse « socialement responsable » :

Comme nous l'a démontré la crise COVID-19, la presse traditionnelle a trahi le peuple. Et pourtant, elle était censée représenter le 4ème pouvoir. C'est à dire le pouvoir d'informer et d'éclairer l'exercice du libre-arbitre du peuple.

Or lors de la crise COVID-19, les médias dits "mainstream" se sont faits les plus grands propagandistes des mensonges officiels et les plus impitoyables censeurs.

Oui, cette crise frauduleuse du COVID-19 a révélé la triste réalité au monde entier : la presse a failli les peuples !

Elle a trahi lorsqu'elle a installé volontairement, puis nourri le climat de peur et de terreur psychologique, tout en propageant 24H/24 des fakes news officiels fabriquées par les gouvernements aux ordres de big pharma.

Et cette trahison a eu des conséquences désastreuses pour des millions d'individus, qui ont été volontairement trompés et obligés à se faire inoculer des vaccins ARNm expérimentaux, sans recours à leur consentement éclairé.

Ce faisant, ces médias dits "mainstream" ont violé de façon flagrante toutes les dispositions de la charte de Munich de 1971, régissant les règles de base du métier de journalistes(et des organes de presse) :

Les devoirs des journalistes - Charte de Munich du 24, 25 Novembre 1971

1. Respecter la vérité, quelles qu'en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité.
2. Défendre la liberté de l'information, du commentaire et de la critique.
3. Publier seulement les informations dont l'origine est connue ou dans le cas contraire les accompagner des réserves nécessaires; ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et documents.
4. Ne pas user de méthodes déloyales pour obtenir des informations, des photographies et des documents.
5. S'obliger à respecter la vie privée des personnes.
6. Rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte.
7. Garder le secret professionnel et ne pas divulguer la source des informations obtenues confidentiellement.
8. S'interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation et les accusations sans fondement, ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d'une information.
9. Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste; n'accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs.
10. Refuser toute pression et n'accepter de directive rédactionnelle que des responsables de la rédaction.

Ainsi, autant dans cette crise sanitaire frauduleuse(Covid-19) que dans les guerres successives déclenchées par l'occident pour piller d'autres peuples, la presse trahit systématiquement et déroge à ses obligations d'informer le peuple et de dire «la vérité, quelles qu'en puissent être les conséquences. »

La complicité de crimes contre l'humanité de la presse est par conséquent établie. Malgré cela, ces mêmes médias mortifères bénéficient d'une impunité garantie et sont promus partout. Leurs propagandes criminelles et criminogènes envahissent Internet et les réseaux sociaux. L'empire du mensonge règne en maître partout, endort les consciences et s'acharne à précipiter l'humanité dans une troisième guerre mondiale. Le peuple se sent assiégé et impuissant... C'est l'impasse !

Face à cette impasse, notre solution : concevoir, administrer et promouvoir la « charte de l'inform'action positive », afin de favoriser l'émergence d'une presse alternative vraiment différente, et qui est conforme à l'ordre du vivant. 

De même que seule la lumière peut chasser les ténèbres, il nous faut construire un réseau de médias alternatifs « socialement responsables », qui travaillent à la recherche de la vérité des faits, qui respectent le libre-arbitre du lecteur et qui veillent à proposer en toute matière, une information vérifiée, pertinente et utile.  Car aucune forme d'intelligence ne peut être supérieure à celle d'un peuple constitué. Voilà pourquoi les médias Ubuntu doivent se démarquer des prêts-à-penser médiatiques traditionnels, dictés par l'oligarchie mondialiste.

La démarche de l'informaction positive, encourage la création des contenus qui aident la conscience des peuples à se forger, qui nourrissent la pensée collective et qui éclairent l'exercice du libre-arbitre de l'individu.

Pour ce faire, l'informaction positive se doit d'être bi-directionnelle, notamment en accordant de l'importance aux retours des lecteurs et auditeurs, et en ouvrant, autant que possible, la création de contenus à son lectorat.